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Faut-il sauver le capitalisme de la crise où il s’est lui-même enfoncé ? Est-ce là ce que les peuples attendent de ceux qui les gouvernent ? Ces décideurs peuvent-ils encore, surtout face à la situation en France d’Outre-mer, refuser de voir la détresse humaine où mène leur politique ? Leur obstination à la poursuivre aveuglément, en abandonnant tout sens des responsabilités, ne peut que provoquer la révolte. Et ils le savent, puisqu’ils renforcent les forces de répression. Alors, pourquoi ? Quels intérêts véritables et inavoués les motivent ? L’Histoire le dira peut-être un jour…
Dans l’immédiat, le seul espoir qui reste repose sur la prise de conscience de la société civile, civique.
Et si, dans leur détresse, les populations les plus touchées montraient la voie à suivre ? — C’est ce qu’on peut penser en lisant ce manifeste ci-dessous, écrit par neuf intellectuels antillais (E.Breleur, artiste, S.Domi, sociologue, G.Delver, P.Chamoiseau et É.Glissant, écrivains, G.Pigeard de Gurbert, professeur de philosophie, O.Portecop, O.Pulvar et J.C.William, universitaires).