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En Grande-Bretagne, les Associations pour la défense des consommateurs
n’appartiennent pas au Gouvernement, comme en France. (Cf. « 50
millions de Con-Sommateurs »). Leurs activités commencent
à agacer les trusts de producteurs. Et en particulier les grossiums
Unilever, Marks and Spencer, etc. Estimant que les décisions
légales de protection obtenues « gênaient les affaires
», les grosses têtes de l’empoisonnement public et payant
ont actionné la C.B.I. (Confederation of British Industries)
qui est passée à la contre-attaque. La C.B.I. a chargé,
moyennant guinées, « L’Economat Intelligence Unit »
bien connu pour ne pas en avoir (d’intelligence) et son goût pour
le dégoût, de torpiller ces Associations. Cet organisme,
après étude, a découvert que le mieux serait de
susciter un mécontentement parmi les consommateurs, en faisant
valoir que toutes les mesures législatives décidées,
ces dernières années, pour la sauvegarde de la santé
des utilisateurs ou la protection des usagers, leur coûtait plus
d’argent que cela n’en valait la peine. Une vaste et persistante campagne
fut lancée, laquelle ne regardait pas à la dépense.
Le premier et excellent résultat obtenu, fut que Madame Sally
Oppenheimer, qui est ministre de la consommation, s’est déclarée
très favorable à cette « campagne d’information
». Déclaration qui s’illumine à la lumière
de la révélation que cette Marie-Sally a de gros intérêts
chez « Marks and Spencer ». La santé du consommateur,
peut-être, mais pas au détriment d’une baisse des actions.
Faut pas charrier !